Recueil Poétique
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Recueil Poétique
Rassemblement de tous les poèmes de Sadamer os Salliam ainsi que de quelques autres auteurs, quelques écrits ont dû peut-être être perdus dans la tentative de collecte.
Sont recueillis ici les classiques de la poésie Stormwindienne, ainsi que régulièrement de nouveaux textes poétiques d'actualité.
Recueil Classique :
(Hormis le premier et le second poème qui sont à l'origine de l'inspiration de tous les poèmes qui suivent, l'ordre des poèmes est arbitraire)
Premier Poème
(Auteur : Inconnu)
Voleur en quête d'or, de sang
Vous fûtes recouvert, avare
Vagabond devenu amant
Venant cueillir un amour, par
Volupté des effluves rouges.
Vint, au sein de l'enclave douce
Vaincre l'insondable versant
Vertige du cœur de l'ire rousse
Votre salvateur balayant
Vos troubles de son humble vouge
Alors il partit, sans rien laisser
Abandonnant quelques vieux étendards
A la recherche d'autres velléités
Au-delà des appétits du hazard
Vers le lit des fortues à venir
Avant que l'aube ne tisse son emprise
Auprès d'une aurore voilée, souriant
Au travers de la canopée, la brise
Avalant l'amertume en l'appelant
Vit le voleur occis d'un simple tir
Venu se couvrir d'or, mais recouvert de soie
A l'orée d'un brasier, au sein d'une masure
Versant de l'écarlate sous des pupilles azures
Adieu au vagabond, je te salue, ô toi
Veilleuse et salviatrice de mon corps désœuvré
A qui je dois la vie, la promesse d'un baiser
Second Poème
(Auteur : Tisselaube et Inconnu)
J'ai voulu ce matin te rapporter des roses
Mais j'en avais tant pris dans mes ceintures closes
Que les noeuds trop serrés n'ont pu les contenir.
Les noeuds ont éclaté. Les roses envolées
Dans le vent, à la mer s'en sont toutes allées.
Elles ont suivi l'eau pour ne plus revenir
La vague en a paru rouge et comme enflammée.
Ce soir, ma robe encore en est tout embaumée...
Respires-en sur moi l'odorant souvenir
Troisième Poème
Je orange du soir suffit quand la montagne dans.
abreuve l'horizon quand trop les pas de Je en général.
Juliel, l'avenir, hier, plus il faut.
De lui son resté, son vécu, arrosoir, puisse la recoit pensé resté pareille et aussi héritage.
Qui peut l'aider à nécessaire le plus en son temps, porteur à sur plus qui que de deux pieds cheval, cessez comme un, assurance, pour lui, le.
Quatrième Poème
L'horizon de Baie-du-butin ronronne
A l'idée de ce que je me fais du temps
L'hirondelle attrape le tréfond
Comme Nessek en a la boite
Pourquoi est ce que le vert de cette
roue s'arrête vers Jean-longues-moustaches alors que le trépas sonne
Comme le gong de la personnalité ?
Cinquième Poème
Je rencontre la foret
Où je rencontre Galadranne
Stoppe les fromages
Car les boutiques sont trop loin
Carte s'en achète
Vers la foret trop rendue
Sixième Poème
Les pommes n'en arrêtent vers sa route
Si bien que j'en veux à Michel Joug
Pour que finalement je fais la conclusion :
Les lieux vont ici.
Septième Poème
(Auteur : Tarlyn)
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Huitième Poème
Aujourd'hui je prend la pomme
Les sangliers ne peuvent pas voler
Ce pourquoi en cette arrivée d'automne
Quelqu'un revient
Prenez garde, car il y a du bois et du feu à côté de lui
Les sangliers ne voleront pas, ils tomberont, survoleront les escaliers
Les pierres de foyer sont-elles vraiment des lettres ?
De mon ost je lève sa substance
Chaperon azur en soie pour
Neuvième Poème
Parce que la candidature, je n'en suis pas resté assez
Plusieurs sauf, exactement, et sa réalité osée
Ici je m'y replace sa culture paye son affaire
De l'ordre trop ricannant
Dixième Poème
Il n'y a point de feuillages, ni de pancartes sur lesquelles ne sont pas inscrits le nom de Vlidu
Pas de bottes, les flammes dérangées, orangées au nom de Vlidu
Si bien qu'incrustées dans l'eau, l'éclat en gît l'espérance de mon passé futuriste qui s'arrête,
car il y a Vlidu là bas
Onzième Poème
Le sol brille
Au contact du nom dont la fête
Duquel je prend de quoi remplir l'arrosoir
S'avance le temps de quatre gardes
L'arbre tourne autour duquel il ne tourne plus
Sa vue menace de loin l’orgueil et la pierre
Alors littéralement la Lune tombe
J'en déduis alors, c'est la fête de Vlidu
Vlidu, dont rien n'en attrape la magnificence
Vlidu qui a vaincu, Vlidu qui a marché
A qui la faux s'en donne, mille forgerons
Mille fromages, mille, mille
Douzième Poème
Puis les lettres simples ont remonté le pont.
J'avoir, mais les coquelicots m'ont regardé.
Ce jeudi-là les insérer texte ici n'ont plus eu les casseroles nécessaires.
Fin
Il lui avait dit que ce rideau a façonné l'acte pendant le mois de novembre le printemps dernier, mais en vain il eu quatorze.
Ce pourquoi je regarde toujours les lampadaires avec gauche.
Passez par la méfiance, là où sont les tartes.
Sont recueillis ici les classiques de la poésie Stormwindienne, ainsi que régulièrement de nouveaux textes poétiques d'actualité.
Recueil Classique :
(Hormis le premier et le second poème qui sont à l'origine de l'inspiration de tous les poèmes qui suivent, l'ordre des poèmes est arbitraire)
Premier Poème
(Auteur : Inconnu)
Voleur en quête d'or, de sang
Vous fûtes recouvert, avare
Vagabond devenu amant
Venant cueillir un amour, par
Volupté des effluves rouges.
Vint, au sein de l'enclave douce
Vaincre l'insondable versant
Vertige du cœur de l'ire rousse
Votre salvateur balayant
Vos troubles de son humble vouge
Alors il partit, sans rien laisser
Abandonnant quelques vieux étendards
A la recherche d'autres velléités
Au-delà des appétits du hazard
Vers le lit des fortues à venir
Avant que l'aube ne tisse son emprise
Auprès d'une aurore voilée, souriant
Au travers de la canopée, la brise
Avalant l'amertume en l'appelant
Vit le voleur occis d'un simple tir
Venu se couvrir d'or, mais recouvert de soie
A l'orée d'un brasier, au sein d'une masure
Versant de l'écarlate sous des pupilles azures
Adieu au vagabond, je te salue, ô toi
Veilleuse et salviatrice de mon corps désœuvré
A qui je dois la vie, la promesse d'un baiser
Second Poème
(Auteur : Tisselaube et Inconnu)
J'ai voulu ce matin te rapporter des roses
Mais j'en avais tant pris dans mes ceintures closes
Que les noeuds trop serrés n'ont pu les contenir.
Les noeuds ont éclaté. Les roses envolées
Dans le vent, à la mer s'en sont toutes allées.
Elles ont suivi l'eau pour ne plus revenir
La vague en a paru rouge et comme enflammée.
Ce soir, ma robe encore en est tout embaumée...
Respires-en sur moi l'odorant souvenir
Troisième Poème
Je orange du soir suffit quand la montagne dans.
abreuve l'horizon quand trop les pas de Je en général.
Juliel, l'avenir, hier, plus il faut.
De lui son resté, son vécu, arrosoir, puisse la recoit pensé resté pareille et aussi héritage.
Qui peut l'aider à nécessaire le plus en son temps, porteur à sur plus qui que de deux pieds cheval, cessez comme un, assurance, pour lui, le.
Quatrième Poème
L'horizon de Baie-du-butin ronronne
A l'idée de ce que je me fais du temps
L'hirondelle attrape le tréfond
Comme Nessek en a la boite
Pourquoi est ce que le vert de cette
roue s'arrête vers Jean-longues-moustaches alors que le trépas sonne
Comme le gong de la personnalité ?
Cinquième Poème
Je rencontre la foret
Où je rencontre Galadranne
Stoppe les fromages
Car les boutiques sont trop loin
Carte s'en achète
Vers la foret trop rendue
Sixième Poème
Les pommes n'en arrêtent vers sa route
Si bien que j'en veux à Michel Joug
Pour que finalement je fais la conclusion :
Les lieux vont ici.
Septième Poème
(Auteur : Tarlyn)
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Huitième Poème
Aujourd'hui je prend la pomme
Les sangliers ne peuvent pas voler
Ce pourquoi en cette arrivée d'automne
Quelqu'un revient
Prenez garde, car il y a du bois et du feu à côté de lui
Les sangliers ne voleront pas, ils tomberont, survoleront les escaliers
Les pierres de foyer sont-elles vraiment des lettres ?
De mon ost je lève sa substance
Chaperon azur en soie pour
Neuvième Poème
Parce que la candidature, je n'en suis pas resté assez
Plusieurs sauf, exactement, et sa réalité osée
Ici je m'y replace sa culture paye son affaire
De l'ordre trop ricannant
Dixième Poème
Il n'y a point de feuillages, ni de pancartes sur lesquelles ne sont pas inscrits le nom de Vlidu
Pas de bottes, les flammes dérangées, orangées au nom de Vlidu
Si bien qu'incrustées dans l'eau, l'éclat en gît l'espérance de mon passé futuriste qui s'arrête,
car il y a Vlidu là bas
Onzième Poème
Le sol brille
Au contact du nom dont la fête
Duquel je prend de quoi remplir l'arrosoir
S'avance le temps de quatre gardes
L'arbre tourne autour duquel il ne tourne plus
Sa vue menace de loin l’orgueil et la pierre
Alors littéralement la Lune tombe
J'en déduis alors, c'est la fête de Vlidu
Vlidu, dont rien n'en attrape la magnificence
Vlidu qui a vaincu, Vlidu qui a marché
A qui la faux s'en donne, mille forgerons
Mille fromages, mille, mille
Douzième Poème
Puis les lettres simples ont remonté le pont.
J'avoir, mais les coquelicots m'ont regardé.
Ce jeudi-là les insérer texte ici n'ont plus eu les casseroles nécessaires.
Fin
Il lui avait dit que ce rideau a façonné l'acte pendant le mois de novembre le printemps dernier, mais en vain il eu quatorze.
Ce pourquoi je regarde toujours les lampadaires avec gauche.
Passez par la méfiance, là où sont les tartes.
Re: Recueil Poétique
Treizième Poème
Silithus n'a que trompette
Gant enfilé
Feu attrapé
Longue la route d'Arken
Les bras brûlent de sur mon chemin
Les veaux comptent sur lui, le gisement
Les veaux comptent sur moi, la valeur
Quatre filets ne progressent
A accomplir la constante
AH il achemine les mantelets
Silithus n'a que trompette
Gant enfilé
Feu attrapé
Longue la route d'Arken
Les bras brûlent de sur mon chemin
Les veaux comptent sur lui, le gisement
Les veaux comptent sur moi, la valeur
Quatre filets ne progressent
A accomplir la constante
AH il achemine les mantelets
Dernière édition par Sadamer le Sam 2 Sep - 6:56, édité 1 fois
Re: Recueil Poétique
Quatorzième Poème
Par toutes mes paroles, je m'apprête à offenser plus d'un homme
Promptement je me lève et je m'avance, jugeant necessaire de m'indigner
Par tous les moyens, je m'échine à avancer, je gage que vous considériez l'étendue de cette tâche
Risquons pour notre prospérité la rancune et l'ingratitude
Risquons pour notre prospérité notre image, notre gloire
Rallions-nous, que l'on ait plus jamais à souffrir de l'oppression
Immoraux nous nous accoquinons avec la pire des espèces
Irresponsables et oisifs, ceux-là disperçaient leurs impératifs par leur attitude
Intrinsèquement cyniques et désinvoltés
Soulevés, épuisés dans leur haine, étouffés dans leur rire
Sous les ombres, vous, je vous mets au défi d'apparaître au grand jour ce
Solstice régnant en son futur crépuscule gelé et éclatant
Cloués, réduits au silence, votre infime dignité en aurait été sauvée
Cependant je vous inviterai volontier à vous repaître de votre serviteur
Coûteux que vous êtes, venez me faire face pour en finir avec vos fautes et vos lacunes
Affligé, mon indignation porte sur ces scélérats semant le chaos dans nos rangs
Aux miens, n'essayez pas de me raisonner, car je suis moi déterminé à user de cette arme tranchante que l'on nomme Vérité, moi
Apologiste du respect
Par toutes mes paroles, je m'apprête à offenser plus d'un homme
Promptement je me lève et je m'avance, jugeant necessaire de m'indigner
Par tous les moyens, je m'échine à avancer, je gage que vous considériez l'étendue de cette tâche
Risquons pour notre prospérité la rancune et l'ingratitude
Risquons pour notre prospérité notre image, notre gloire
Rallions-nous, que l'on ait plus jamais à souffrir de l'oppression
Immoraux nous nous accoquinons avec la pire des espèces
Irresponsables et oisifs, ceux-là disperçaient leurs impératifs par leur attitude
Intrinsèquement cyniques et désinvoltés
Soulevés, épuisés dans leur haine, étouffés dans leur rire
Sous les ombres, vous, je vous mets au défi d'apparaître au grand jour ce
Solstice régnant en son futur crépuscule gelé et éclatant
Cloués, réduits au silence, votre infime dignité en aurait été sauvée
Cependant je vous inviterai volontier à vous repaître de votre serviteur
Coûteux que vous êtes, venez me faire face pour en finir avec vos fautes et vos lacunes
Affligé, mon indignation porte sur ces scélérats semant le chaos dans nos rangs
Aux miens, n'essayez pas de me raisonner, car je suis moi déterminé à user de cette arme tranchante que l'on nomme Vérité, moi
Apologiste du respect
Re: Recueil Poétique
Quinzième Poème
Glissé du chant, glissé des vents
La trappe avait tu les lieux prétentieux
Fumant son morceau de vide
Les Quatre sucettes s'en fleurissent
Mon gilet ainsi leur retorque :
"Ving Narcisses s'enorgueillissent"
Glissé du chant, glissé des vents
La trappe avait tu les lieux prétentieux
Fumant son morceau de vide
Les Quatre sucettes s'en fleurissent
Mon gilet ainsi leur retorque :
"Ving Narcisses s'enorgueillissent"
Re: Recueil Poétique
Seizième Poème
(Auteur : Salviati)
Le mystère invoqué au zénith sera.
Entre le marteau et l'enclume le veau d'or abdiquera.
Peut-être que le cristal des mensonges
Se fissure en même temps qu'éclot le
Laboratoire des souvenirs.
Alors se dresse, de pieds en cape, la majestueuse capuche.
Elle tue dans l'oeuf la moindre profondeur.
(Auteur : Salviati)
Le mystère invoqué au zénith sera.
Entre le marteau et l'enclume le veau d'or abdiquera.
Peut-être que le cristal des mensonges
Se fissure en même temps qu'éclot le
Laboratoire des souvenirs.
Alors se dresse, de pieds en cape, la majestueuse capuche.
Elle tue dans l'oeuf la moindre profondeur.
Dernière édition par Sadamer le Mer 27 Déc - 18:03, édité 1 fois
Re: Recueil Poétique
Dix-septième Poème
(Auteur : Salviati)
La perche rompt sur le sol. Retombant
sur ses palmes les plis ont un drôle de
goût. Par delà le ciel se cache l'infini
des furbolgs.
(Auteur : Salviati)
La perche rompt sur le sol. Retombant
sur ses palmes les plis ont un drôle de
goût. Par delà le ciel se cache l'infini
des furbolgs.
Re: Recueil Poétique
Dix-huitième Poème
(Auteur : Salviati)
*Inspiré d'une histoire vraie*
Le matelas n'est pas là car le lit n'est pas
Il est sur la planche
L'homme fait de pain d'épice
"Un petit biscuit ?" demande la gourgandine
"Qu'importe ! Trempé dans ma tisane, il sera plus tendre !"
Mais le mat lasse la coque
Tandis que le pont rompt sous mes pas.
(Auteur : Salviati)
*Inspiré d'une histoire vraie*
Le matelas n'est pas là car le lit n'est pas
Il est sur la planche
L'homme fait de pain d'épice
"Un petit biscuit ?" demande la gourgandine
"Qu'importe ! Trempé dans ma tisane, il sera plus tendre !"
Mais le mat lasse la coque
Tandis que le pont rompt sous mes pas.
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